01x03 " Healy-Help "

Membre Nombre de messages : 40 Age : 31 Date d'inscription : 06/01/2009

Au dehors on voyait un panneau publicitaire représentant un film que je vous conseille vivement :

C'etait un soir de pleine lune, la blessure injurieuse d'Healy le tendit au plus mal. L'oesophage brulant ne pouvait resister aux vertues douloureuses et desinfectantes des Bud Lights presque pas alcoolisees. Son regard etait mitige, tantot vide, tantot fier, tantot inquiet. Il avait fait mouche, l'animal! Ce soir la, il avait vomi sur les pompes Cardin du president African American au nom Irlandais, attire sur lui toute l'attention... Mais qui nous dit que le president n'avait pas fait bruler le Krusty Burger entre temps, ou quand bien meme trouver un quelconque arrangement, histoire de faire taire les pochtrons et autres camionieurs avide de burgers trop gras ?(Je sais, j'y ai goute!) Ces Country RedNeck! Qui etaient la, lors du concert de Willie Nelson a Simpsoneville...Ces ploucs! IMPOSSIBLE ! La ville est profondement republicaine. Le President n'a pu en venir qu'aux mains. Healy voyait flou, assis sur une chaise parmi ses pairs, le menton colle au torax, la moustache pleine d'acide gastrique, son estomac cantonait l'hymne nationale a vive voix.

:: Infirmiere ::
Tres bien, no 452 ?! Je crois que c'est Pat, et sa visite dominicale ! Olalah, mon pauvre Pat, je crois bien que c'est ton tour.

Sur ce, l'infirmiere tendit le bras pour porter son speed dating de malheur, ce dont Healy se laissa faire, tout en disant, emeche :

:: Pat Healy ::
"Tu devineras jamais avec qui j'etais cette nuit ! Burp ...Heaaah"

Celle ci repondit d'un air affligee :

:: Infirmiere ::
Je suis sur que tu me raconteras ca tres bien apres.

Et a celui ci de s'arreter de se laisser porter et de faire volte face.

:: Pat Healy ::
"Oh Oh oh! Doucement Lady ? Comment ? Tu crois que je suis qui? Tu me connais pas. Burp Heaaah . Tu sais, moi je vais te dire un truc ! Ecoutes bien hein? Je le repetrai jamais ! J'aime pas beaucoup les gens comme toi ! "

A ces mots, ce n'est pas une odeur fetide qui se fit sentir lorsqu'il leva le bras (enfin, pas que), mais bien une lourde et inevitable chute, face contre terre qui accueilla Healy a bras ouvert. Le contre poids provoque par le bras etant trop important. La tete ensanglante, Healy se dit surrement un truc comme : "Je suis, mais, dans un ETAT!". Ses yeux se fermerent, laissant place au doute, pour la suite.

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Ouvert a tous ceux qui profitent du pe-stacle.

Newport Beach terminé, House sèche les consultations, comme à l'habitude, et trône à la cafet'. Il observe avec indifférence et un café ( vous notez le zeugme, c'est magnifique. ) le pov' boit-sans-soif qui faisait scène face à lui. Apparemment un habitué la boisson et à l'hôpital.. Deux points communs : " Mon âme soeur ! " crie-t-il à son propre intérieur, bourré -lui aussi- d'ironie -bah oui, pas en service malheureux ! Il n'a, comme bien vous pensez, jamais été saoul en service; et quand bien même ce fut le cas, je n'aurais point pris la peine, à notre époque, de vous parler d'un fait aussi banal-. Mais ce sympathique saoulard, à son odeur baladeuse, devait fréquenter les mêmes endroits que House, celui-ci croit en effet reconnaitre cette odeur de vomi retrouvé sur sa basket gauche de la dernière semaine. Il s'approche de l'infirmière.

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|House|
Infirmière, appelez un médecin!, vous voyez bien que ce gentil monsieur a besoin d'aide ! Son crâne saigne ! s'exclame-t-il dans son ton dédaigneux, celui réservé aux infirmières, qu'il adore et qui le lui rendent bien.

Je sais pas encore où tu veux aller spécialement, j'ai pas l'inspi pour voir la suite, je te laisse te débrouiller avec ça pour le prochain post ?

Membre Nombre de messages : 40 Age : 31 Date d'inscription : 06/01/2009

Alors que moult textures (sami, n.m : éclatante osmose entre sangs et vomis, donnant logiquement sami) foisonnaient sur le carrelage reluisant de l'hosto. Healy bavait et tournait de l'oeil. Il arrivait cependant à s'exprimer, car, déblatérer, ça, il avait appris avant de penser, et même avant de respirer. On peut avouer, que c'est pas forcément contenu dans les capacités du premier gusse qui franchirait le pas de la porte habillé en chandelier. (Un conseil les enfants, ne touchez pas à la drogue, parce que vous finirez par écrire comme je le fait actuellement, je ne dis pas que je touche à la drogue attention. J'ai jamais dit ça. Cross de Wood, Cross de Iron. Je meurs jusqu'a que je sois mort) C'est donc, dans un anglais des plus corrects qu'Healy lui lança une suite d'élucubrations des plus françaises non traduites.

:: Healy ::
"Et toi là, le nabot ! Appelle moi House ! ... House ! Tu connais ? La boiteuse ! Le camé ! Le cocu (tout le monde en parle) ! Oui, bah j'ai besoin de lui, eh oui ! Et c'est confidentiel... private!" [...] Bon allez, je te fais confiance ! Tu vas certainement pas me croire, je suis toujours bourrééé ! Mais le nouveau président, des EUESSEA, Barock Alabama me veut, à ses frais pour aller m'astiquer le nombril un peu partout sur la toile étoilée, mais le hitch, c'est que ça n'a pas de couverture santé ! Et tu sais, mes dents.. C'est important, j'ai pas vraiment le temps, de me les brosser 1 fois par jour, donc, t'imagines bien...Heureusement, je me rattrape en fumant quelques sans filtres, et en buvant un peu, pour cacher l'odeur. Donc j'ai entendu lire du côté anticonformiste de l'aspect révolutionnaire des méthodes antisociales d'House (édité chez Flammarion, 26€ chez Sauramps) car mon mode de vie n'est pas vraiment le plus basique au monde, c'est certainement ce qui fait tout mon charme. BURP HAAAAAAAH. Donc, il me le faut, il sera payé aux frais de l'état, et en plus, je suis déconneur. Une vraie tornade. Il ne le regrettera pas. Ahahah ! BURP, oh merde je rote du sang."

Il croit que tout le monde connait ses chansons, c'est Jean Michel A Vous !
"Tu m'as pas laissé le temps... A vous !"

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Voilà, moi non plus, classique est la mise en place.

» "Quoi ? La truie qui mouline ?"