Gary M's Demeure !

Gary M déambulait dans les ruelles de Shelbyville, cotoyant quelques rares passant qui s'en allait vaquer à leurs occupations. Après son echec de persuasion du bon vieux Joe Quimby, il était d'ailleurs un peu étonné qu'il ait changé ainsi, mais Gary roula des yeux et poussa un bref soupir avant de rejoindre sa modeste (ou pas) demeure. Il enfonça nonchalamment la clé dans le verrou afin d'ouvrir la porte. Il pénétra dans sa maison, un pas après l'autre, et vint s'effondrer dans son canapé.

"Gary : Comment ai-je pu perdre contre lui ? J'avais tout pour remporter la victoire et pourtant j'ai perdu ! Comment vais-je faire maintenant si mon pire ennemi n'est pas hors-competition ? Comment vais-je faire pour faire tourner les affaires sans que cette fouineuse vienne chercher des noises ? Mais cette entrevue m'a ouvert les yeux, je ne suis pas autant craint qu'avant, je n'ai plus la même influence. Avant je pouvais menacer de mort qui bon me semblait, maintenant c'est moi que l'on menace. Je dois devenir méchant encore plus méchant !"

Il se lève d'un bon et brandit son poing.

"Gary : Je dois régner en maître, je ferais tout pour parvenir à mes fins."

Mais il s'affale une fois de plus sur son divan.

"Gary : A qui vais-je faire croire ça ? Et puis je me met à parler tout seul... Je dois être bien atteint... Tiens d'ailleurs je recommence ! Si seulement quelqu'un pouvait apparaître et me dire que tout n'es pas fini, que je pourrais enfin me relever et dire un grand merde aux politiquement corrects, comme cette Marge Simpson ou bien ce Joe Diamond Quimby !

Il fronce les sourcils, et s'allonge sur son canapé devant son écran Plasma à l'image super définie, l'engin qui nous montre les plus infimes détail dont on à rien à foutre ! Il s'empare de la télécommande et presse un bouton, l'image apparait en un dixième de seconde et on s'aperçoit que c'est une chaine d'informations.

"Journaliste Sexy : Le Dow Jones est en chute libre avec une perte de 45,04 % on est dans la merde jusqu'au cou, non je déconne. Le Dow Jones effectue une baisse de 3,25 %, le plan de sauvetage bancaire a été adopté par le Senat afin de trouver une solution à la crise économique qui est en train de se propager. Venons au nouvelles économiques locales avec la campagne contre l'obésité à Springfield et Shelbyville menée par Marge Simpson, ce qui entraine une baisse de 1,05 % à la bourse pour l'industrie du sucre de Gary M, les actionnaires de l'industrie du sucre sont fortement affectés."

Le vieux Gilles apparait à l'écran, il est sur le toit d'un building prêt à faire le grand saut.

"Gilles : On m'avait promis que ce serait bien, que j'aurais une vie meilleure.
Wiggum : Ne faites pas l'imbécile, il vous reste tant de choses à vivre.
Gilles : Oh ouais c'est vrai, je ne vais pas sauter."

Maladroit comme il est, il fait un pas en avant et ben... bam ! Wiggum se frotte les mains

"Wiggum : Voila qui est fait débarrassez vous du corps"

La journaliste revient et reprend son discours.

"Journaliste : Est-ce la fin pour le géant de l'industrie ? Les actionnaires commencent à revendre leur titres de propriétés, et l'Usine de Sucre est en chute libre... Va t-il devoir déposer le bilan ?"

Ca y'est l'est énervé le vieux Gary ! Il jette la télécommande dans l'écran, elle vint s'y planter telle une flechette lancée par le talentueux John Lowe ! Il se lève et renverse sa table basse et commence à hurler.

"Gary : JE LEUR AI DONNE CE QU'ILS VOULAIENT !! ET MAINTENANT ILS ME REJETTENT ? SALETE DE MARGE SIMPSON ! Elle va voir ! Elle ne paie rien pour attendre. Elle entraine les gens dans de stupides campagnes, qui pourraient être attirantes et bienveillantes à première vue, mais elle entraine aussi la faillite des honnetes gens ! Ceux qui ont bossé pour fonder un empire !"

Adepte du "Je me jette dans mon divan super confortable", Gary se jette dans son divan super confortable et vint à se poser des questions, quelque chose qui ne se serait jamais passé auparavant.

L'Oncle Tito gambadait suite à sa rencontre avec Clichy Wiggum. Rien ne laissait parâître sur son visage, une émotion ne serait ce que minime. J'aurais dit "joie" mais bon les narrateurs tentent souvent au Kifkif de trouver la situation sentimentale de leurs titulaires. Trêve d'assortiments futiles. Tito gambadait hardiment dans la campagne Springfieldienne accueillant les rescapés Shelbyviens. Un réscapé? Mais noon ! Le bon vieux Gary était un crapahuteur qui dénigrait l'administration Sprginfieldienne, mais son sang était Springfieldien ! Et quoi qu'il fasse, il devait vivre avec ! Mais en même temps, toutes ces embrouilles...Huf' Pas facile facile. C'est pourquoi, c'est sans arrières pensées et sans interêts (financiers) que l'Oncle Tito Bandito decida de venir chez son comparse...Et pourquoi voir les infos avec lui...Ou pas ! Il cogna à la porte à l'aide de l'anneau à tête d'Aigle forgé, on pouvait dire que le mec qui aimait sa maman, savait surement accueillir et rendre à l'aise ceux qu'il aimait...Une Tête d'Aigle ! Iiich ! A l'ouverture, il souria d'un air débile comme Brad Pitt dans Burn After Reading (comprendront ceux qui voudront) et brigua 2 Shackers de Margarita Maison enrobé d'un peu de papier aluminium. La methode magique pour que rien ne coule.

"Andalé ! Séñor ! Tenez Amigo ! Dé la Margarita de ma Conchita Soubretta préférée ! Jé sais qué ça va pas très bien actouellément ! J'éspére qué un poquito d'eau de Fuego vous redonnéra un poco dé peps ! Hein !? Jé souis dé tout coeur con tu ! Oh ! Oooooh Mais qué vois jé ? Un Canapé Confortablé ? Ca changera del vieux pato qué orne mi Salºn ! Jé pé ?"

Mais Tito , n'attendit pas que son interlocuteur réponde et accoura ultra rapidement vers le Canap' de L'amoureux des Mamans, tout en admirant la Demeure, de quelqu'un qui ne pouvait être demeuré. Quelle Classe ! Quel Chic ! Sweetie ! Il chopa la télécommande et appella Gary :

"Qu'est ce que t'attends? Es tu Loco ? Régardes cette Télé ! Elle fait 7 fois la mienne qué jé né pas encore fini dé payé ! Oh Mais qu'est ce qu'est c'ést que ça ?! Ooohooo"

Ses fesses venaient de se coller à bouton incongru du Canapé et aussitôt un bain massant lui arriva sous les pieds, mais celui ne semblait pas être à l'eau mais à une substance comparable (à l'odeur, au gout, à la forme, à l'aspect) : à du Cacolac .

"Ooohooo ! oO Mamasita ! Ooh! Viens Gary !"

Gary n'avait certainement pas entendu les appels de l'O.V.M.N.I (Libre à vous de comprendre), puisque il s'aventura dans le living room, s'octroya la télécommande qui semblait si confortablement installée sur le ventre de l'hôte mexicain, je sais ce que vous pensez : comment n'a t-il pu voir cet objet massif (désolé si je me trompe, je ne sais s'il est en surchage pondérale ou non) ? Ben on sait pas. Il zappe rapidement et tombe sur une chaine de sports.

"Télé : It's Gameday tonight brought you by Fat Donald and VT & T (Comprendra qui pourra)"

"Présentateur : Nous nous retrouvons pour le Post Game report, Detroit qui inscrit un record en se voyant infliger une 16 ème défaite ce qui constitue le maximum atteignable dans une saison. Score final : 60 à 3 (Faux hein ?! ) Avant de rentrer dans les détails nous retrouvons la pub."

La pub ne se lance pas et les présentateurs pensants être hors antenne commencent à rigoler fortement, d'autres commencent à enlever leur veste et leur chemise et se font tatouer 0-16 sur leur ventre et lancent des confettis sur tout le plateau. Soudain, les journalistes semblent surpris, car l'emission à déjà repris et n'ont pas eu le temps de dissimuler les preuves de leur festivités.

"Gary : J'ai l'impression que je vais encore devoir manger des pâtes ce soir..."

"Journaliste (Torse nu, un de ses pectoraux délimité par un marqueur pour représenter un 0, sur l'autre est inscrit un 16) : Nous ne rentrons pas dans les détails, car nous vous annonçons que nous sommes tous virés."

Ils quittent tous le plateau apparemment très déçu, on a appris le lendemain, que de nombreuses personnes s'occupant de la régie ont été retrouvées mortes, voila de quoi alourdir leur dossier, ha ha ha !

Stop !

Et la vous vous dites comment il a fait pour regarder la télé alors qu'il l'avait brisée auparavant ? C'est la magie des series animées \o/

Lecture !

Gary éteint la télé et soupir, il s'assoit sur le ventre de Tito et vient, par la même occasion de remarquer sa présence.

Gros plan sur la tête du Mexicano.

"Gary : HAAAAAAAAA !"

Gros plan sur sa chemise.

"Gary : HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !"

Gary se calme, et tente de reprendre ses airs normaux par une tentative très astucieuse et très typique de Gary, il prend son téléphone portable et compose un numéro. Son téléphone fixe sonne.

"Gary : Gros la... euh monsieur voulez vous bien répondre au téléphone s'il vous plait ?"

Tito exécute avec plaisir, il n'avait certainement jamais vu un téléphone en sucre...

"Gary : Voulez vous bien vous casser de ma maison ?"...

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To be continued !